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L'amer est le Lys  
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Clodomir, le contrebandier
Clodomir, le contrebandier
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21/01/2014
Posté le 27/10/2016 à 21:24:44 

[ RP ouvert à tous, français et pirates en particulier. Mais si d'autres veulent participer, ils sont bien évidemment les bienvenus. ]


Cabine du capitaine de la Chimère, la nuit tombée.

Clodomir faisait les cent pas dans le cadre luxueux d'une cabine réaménagée à grands frais. Il avait même fait rajouter une peau de panthère acquise de haute lutte récemment aux nombreux objets d'art, curiosités dispendieuses et autres merveilles ostentatoires dont il avait orné son habitat quotidien. Pourtant, le vieil homme semblait contrarié, il n'avait même pas songé à un instant à entamer ses cailles en sarcophages servies avec zèle par son nouveau coq.

- Les dernières nouvelles sont fort préoccupantes ! Nombre de frères et sœurs ont récemment péri en mer ces dernières semaines ! Je me fiche d'eux comme de ma première chemise, par contre, cela signifie que nos profits sont en chute libre. Et cela est INTOLERABLE !

Quelques pas plus loin :

- Ce sont les français ! Ces pourceaux ont encore renforcé leurs escadres et patrouillent sans cesse au large. Même le plus petit navire de commerce se trouve désormais sous la protection d'une frégate, voire d'un navire de ligne ! Nos sloops ne sont pas de taille à concurrencer cette marine de guerre. Si la vitesse joue en notre faveur, toute tentative d'abordage est vouée à un sanglant échec.

Tout en continuant à arpenter sa cabine, le capitaine remue son vin de Bourgogne dans une coupe de vermeil :

- Que faire ? Si nous ne pouvons frapper le corps de cette escadre sans subir de trop lourdes pertes, nous pouvons en revanche frapper sa tête ! Sans elle, nous pourrons profiter du tumulte pour piller tous les navires qui s'aventureront trop loin des côtes sans la protection adéquate. On m'a parlé de leur amiral, un homme ambitieux qui cherche à monopoliser les faveurs de son roi, peut être serait-il temps de l'inviter à une petite discussion...

Sortant à tout rompre sur le pont, le vieux hurle :

- Trouvez moi l'amiral du Lys ! Je veux tout savoir sur lui, ses vices, ses alliances, l'endroit ou il se trouve ! Nous avons fort à faire avec lui ! L'or doit couler !
Sagiri
Sagiri
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08/12/2015
Posté le 27/10/2016 à 21:45:49 

Les revers militaires maritimes des membres de l'Albion commençaient à miner le moral des troupes en mer.
L'origine de ses déboires étaient dus à l'incroyable force maritime Française.

J'avais de forts soupçons de corruption au sein de cette nation. L'amiral semblait avoir un force maritime assez colossale, alors qu'il n'avait jamais brillé en mer c'était des plus inquiétants.

Revers après revers , les miens tentaient de toutes leurs forces de résister aux canons, mais les mats des voiles se cassaient à longueur de journée.

Je devais trouver un moyen pour aider mon peuple, et il était pour moi, impossible de me rendre en mer. Mon coté bleue n'était pas du tout adapté face à la situation critique!

Je gigotais dans mon siège d'intendance de la nation à la rose. Et je soupirais de la situation. Il fallait trouver une solution.

Après quelques griffures sur un parchemin, je le scellais avec le sceau de New Kingston et il partait pour son destinataire.

Il ne me fallait plus qu'a attendre le retour des informations. Il en va du salut de ma patrie.
Rob le détaillant
Rob le détaillant
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27/11/2006
Posté le 29/10/2016 à 23:06:13 

Je comptais les piastres.
L'encre à la pointe de ma plume légèrement fendue en son bout, j'inscrivais sur le gros livre des comptes de Port Louis les additions et soustractions concernant les dons de mes compatriotes au Ministère de la marine française.

Voila quelques jours à peine que j'avais reçu la fonction de grand trésorier de Port Louis, et je dois dire que le travail ne manquait pas. Des Rendez vous à droite à gauche, du commerce avec les autochtones et autres indigènes plus cons que les autres... Certains me parlaient même de troc.... vraiment une drôle de civilisation.
Mais le gros du travail restait celui que j'avais en rapport avec notre amiral.

Ce bon bougre avait décidé de mettre en branle la construction de navires et donnait ainsi aux charpentiers et autres constructeurs naval du pain sur la planche. On eu dit que l'idée d'une expédition punitive vicking avait grandit dans sa caboche, pour peu qu'il ordonnerait non pas des sloops mais des drakkars le con.

Les dons affluaient de toute part, le compte de la marine se courbait en dent de scie de jours en jours, même d'heures en heures. Chacun y mettant un peu de sa poche et je peinait presque à remplir mes fonctions de ministre terrestre pour les autres tant j'étais appelé à Port Louis pour verser la somme nécessaire à l'acquisition d'une barcasse.

Mais c'était de bonne augure. Je n'ai jamais cru que le commerce fleurissait avec de l'avarice et de l'austérité. Pour rapporter gros il faut investir, il faut balancer la machinerie à grosse production, voila que l’Écumeur avait ce bon ton d'entreprendre.

Laissant la plume pour trouver dans mon coffret un gros cigare j'allumais le barreau en tirant une grosse bouffée qui vint se rependre tout autour de moi, brouillant de ma vision les lignes de calcul et la lumière de la petite bougie qui vibra un instant.
Althéa de Rioghan
Althéa de Rioghan
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07/07/2015
Posté le 31/10/2016 à 11:17:37 

Deux jours que l'Ecumeur avait disparu, et les services de renseignements français n'avaient de cesse de recouper les informations pour le localiser.

La dernière nouvelle en date le localisait à l'hôpital de Port-Louis. Une escouade de  français fut alors constituée et emporta l'amiral inconscient pour le placer en sécurité dans un lieu sûr au sein de la colonie.


edit : bon apparemment ça marche pas ça...
Dirk
Dirk
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02/12/2011
Posté le 01/11/2016 à 02:11:28 

Dirk était un peu débordé.
Une nouvelle missive arriva.
Il parcourra la lettre très rapidement.
Ecumeur, kidnappé, pirates.

Il fit une boule et la jeta dans la corbeille la plus proche.
"Pfff... Comme si on avait le temps ! Les pirates devraient faire affaire avec nous désormais vu qu'on est la nouvelle grosse puissance maritime de Liberty. Tout simplement. Ou fuir. Ou se pendre."

Il embarqua dans son sloop privé.
Kayvaan
Kayvaan
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04/10/2015
Posté le 01/11/2016 à 21:08:01 

Des rapports... Encore des rapports... Toujours des rapports...

- Mais je suis pas là pour ça moi !

Son premier réflexe a été d'envoyer valser au loin une longue pile de dossiers à travers le bureau.

Bon, il fallait reprendre depuis le début. Une grande chasse était en cours, de même que l'expédition d'Althéa, ce qui faisait qu'une bonne partie des troupes françaises étaient occupées. A cela la grognasse d'anglaise qui venait de prendre le tour, l'intendant et le général qui passait leur temps à draguer... 

Et maintenant l'amiral venait de se faire kidnapper. Selon les rumeurs, ce serait les pirates à l'oeuvre. Ils devaient être tellement dégoûtés de la surpuissance de la colonie qu'ils ont de suite fui les combats pour venir les chercher ailleurs. Quelle misérable bande de lâches ! Ah elle est belle la piraterie, ça vient faire les malins, mais dès que ça perd un peu de terrain, ça fuit aussi sec ! Pitoyable, vraiment ridicule.

Il fit aussitôt réunir tout ce qu'il avait sous la main pour organiser les recherches. Il était hors de question de laisser passer une telle chose. Il suffisait de leur mettre un peu la pression, et ils fuiraient de suite après. Comme d'habitude.
Les éclaireurs partaient, et une groupe d'expédition était réuni. Kayvaan ramassa ses affaires et prit le chemin de la jungle.

- T'inquiète pas mon frère, je viens te chercher.
Pantaléon
Pantaléon
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04/09/2016
Posté le 01/11/2016 à 21:47:42 

La nouvelle de la disparition de l'Amiral avait porté un coup au moral des corsaires français. Il manquait cruellement à la marine. Son remplaçant intérimaire ne manquait pas d'énergie non plus, mais il n'arrivait pas à la cheville de l'Ecumeur. Incapable de tenir ses comptes, il venait de perdre Port de Paix, une base stratégiquement importante pour la zone d'influence française.

Caliente était également sur le point de tomber. Bientôt la Barbade serait isolée, la rendant fragile aux assauts incessants des anglais, qui pourraient y consacrer toutes leurs forces d'attaque. Tout serait alors à refaire. Il fallait à tout prix que le Lieutenant Kayvaan et ses courageux soldats libèrent l'Amiral. L'influence de la colonie française dans les eaux caraïbéennes en dépendait, c'était aussi simple que cela.
Dirk
Dirk
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02/12/2011
Posté le 02/11/2016 à 01:01:47 

Toujours pas de nouvelles du retour de l'Amiral.
C'était un peu embêtant tout de même.

La colonie française n'avait jamais tellement brillé sur mer. Même lorsque Dirk avait été Amiral.
Mais ce petit gars, l'Ecumeur, il avait su redonner un peu de vigueur à tout le monde.
L'armée navale française s'était très vite développée si bien qu'elle se retrouvait avec de nombreux bateaux sans capitaine ni équipage !

Malgré l'absence temporaire de l'Ecumeur, les affaires de la colonie française restait une priorité.
Il fallait poursuivre les efforts développés jusque là. L'empire maritime de la France ne pouvait reposer que sur un seul homme. Les Pirates se fourvoyaient si c'était ce qu'ils pensaient.

Dirk avait fait escale à Marie Galante dans ses appartements d'intendant.
Il fallait continuer à dynamiser la flotte. Continuer à la rendre plus forte.

Et surtout recruter des matelots !

L'Écumeur
L
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10/06/2014
Posté le 03/11/2016 à 00:17:01 

Depuis des jours L'Écumeur se sentait épier, observer, il a avait l'impression chaque jours c'est dernier temps qu'on le reluquait, et c'était point des catins de la Fleur Bleu, on était à sa recherche, il le sentait.

Il prit la décision d'aller rejoindre à Louis le grand pour se réfugier auprès de lui, son frère à l'armure écarlate, une bien bonne idée, personnes n'oseraient venir l'espionner là-bas surtout en compagnie du grand et redoutable Skuleth, il se trompait, lourdement.

Posté tranquillement devant la garnison, il sirotait un excellent rhum du père Molotov, en compagnie de Skuleth, quelle erreur ils firent, complètement beurrés, les deux zigotos en voyant arriver la bande de pirate ne se mirent point sur leurs gardes, bien au contraire, ils rigolèrent et ils leurs offrir également des coups à boire, ils ne reconnaissaient même plus un bandeau bleu d'un bandeau noir.

Complètement déchiré, Skuleth s'assoupit quelques instants, et à se moment Howell Davis fit son entrée ; lui par contre L’Écumeur le reconnaissait entre mille, en un éclair il brandit ces couteaux et commença à jouer avec ça cible, dans le mille s'écria t'il plusieurs fois. Lorsqu'il n'eut plus de couteau à lancer, il alla simplement les chercher, Howell de son coté s'approcha également de lui, les pirates de leurs cotés restèrent médusés par cette scène. Arrivant en titubant devant Howell, L'Écumeur dégaina sa hache mais cela ne servit à rien vue son état, Howell semblait bien rigoler lorsqu'ils se mirent à batailler, en trois touches L’Écumeur s'effondra au sol.

Le lendemain, c'était incompréhensible pour lui, il se réveilla au milieu de pirate, ligoté, au sol, mais qu'est ce qu'il foutait là, au milieu de ces vils cloportes, il ne reconnaissait même pas l'endroit où il était, il essaya de se souvenir mais se rappela uniquement du visage d'Howell Davis s’esclaffant l'arme à la main, merde se dit il, j'ai peut être un peu trop forcé sur la boutanche hier.

Il essaya de fuir en vain... Il était leur prisonnier, pour une raison qui lui était inconnu, ou pas, il se rapellait maintenant d'une certaine missive du capitaine de la Chimère Clodomir, il voulait qu'il cesse toutes activités aux chantiers navals de Port Louis, il voulait, il l'avait exigé cette mouise, bien entendu L’Écumeur l'avait envoyé bouler, traiter avec des pirates, mais pour qui ils se prenaient ces forbans. Aucunes négociations n'étaient possible avec lui, la diplomatie, il n'aimait pas ça, absolument pas ça, pour les faibles les compromis, telle était sa devise.

Il leurs avait bien dit de le mettre à mort, un autre prendra sa place de toute manière, et ils le vengeront, eux le peuple de Port Louis. Bizarrement ils n’accédèrent pas à sa requête, tant mieux tout de même...

Il comptait dorénavant sur ces frères et sœurs d'Ex Tenebris Lux et sur l'armée de Port Louis pour le secourir, la réaction serait aussi rapide que violente se dit il, il se le disait mais se ne fut pas le cas.

Des jours, des semaines peut-être maintenant qu'il était trimballé de planque en cache... Et sans rhum de surcroît. Il avait réussit tout de même à attendrir les jumeaux qui lui offrir une bouteille après quelques jours, liquidé aussi sec, et Alanis également car ils les saoulaient, ne voulait plus avancer sans son breuvage et chantait à tue-tête tant qu'il n'avait pas sa dose quotidienne, il arrivait toujours à ces fins.
L'Écumeur
L
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10/06/2014
Posté le 03/11/2016 à 00:37:08 

Marcel de Ploumagoar avait une lourde responsabilité maintenant, il avait prit la relève au ministère de la marine de France depuis la disparition de L’Écumeur, où était t'il donc passer encore ; un enlèvement lui avait on dit, ou perdu dans une taverne encore une fois ce dit il personnellement, ils en avaient l'habitude au ministère, un joyeux luron l'amiral, pour sûr.

Quelle tâche c'était pour lui, pour eux au ministère, ils n'arrivaient pas à suivre, entre les ordres et les comptes du ministère, quelle charge c'était pour eux sans lui ; de plus avec l'enlèvement de L'Écumeur, une folie se répandit au ministère, beuverie sur beuverie pour se consoler ils faisaient, et cela se ressentait sur les affaires et sur les possessions maritimes, des comptes bâclés, la perte d'un précieux port, Port de Paix, plus rien n'allait, il fallait que notre amiral revienne au plus vite, qu'il reprendre son poste, les rênes de la glorieuse marine française.

Il fallait réagir et châtier ces agresseurs, par une belle danse, la danse de la mort, la corde au cou.
Madre Anna
Madre Anna
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09/12/2005
Posté le 04/11/2016 à 15:57:44 

L'amiral français était dans nos mains, pour notre plus grand malheur.
"Alanis Pousse le français et regarde Soy. On a encore besoin de sa carcasse, et il est plus facile de se la traîner vivante.", à tout le monde.
"L'Écumeur s’exécute la rage au ventre. Ils comprendront bien assez tôt...", à tout le monde.
"L'Écumeur en voyant Guillemin arriver le sourire au lèvre il se dit que ça sera pour une autre fois. "J'ai soif, vous auriez pas une boutanche de rhum à me passer et promit je fera pas de tapage !"", à tout le monde.
"L'Écumeur se dit que si il refuse ils vont en chier cette nuit, ils ne fermeront pas l'oeil. "Hé hé !"", à tout le monde.

Pour celui de nos oreilles d'abord. Il n'arrêtait pas de beugler, réclamant du rhum à qui mieux mieux, malgré les taloches d'Alanis et les claque des Guillemin, à moins que ce ne soit le contraire.
"L'Écumeur commence à gueuler lorsqu'il voit que Guillemin commence à s'assoupir. "Hé ho, toi tu vas pas de reposer tranquillement, refile moi une bouteille de rhum et je la ferme."", à tout le monde.
"L'Écumeur commence à chanter à tue tête. "Marins rejoins ton équipage Tu es paré pour la mission Bientôt commence l'appareillage Du sloop au manowar Marin au cours de ton voyage Tu hisses notre pavillon...", à tout le monde.
"L'Écumeur Au loin très haut Tu portes l'image de la France Aux autres nations Honneur, Valeur et Discipline Mis au service de la Patrie C'est la devise de la Marine...", à tout le monde.
L'Écumeur Qui s'est inscrite dans ta vie C'est la devise de la Marine Qui s'est inscrite dans ta vie." Et il recommence de plus en plus fort, il arrivera bien à ces fins, merde une boutanche quoi !", à tout le monde.
L'Écumeur "Bouteille merde ! Vous m'avez voulu, vous allez me subir."", à tout le monde.
"Alanis Colle une taloche à l'Amiral."Tu vas la fermer, ta gueule de poivrot ?", à tout le monde.
"L'Écumeur venait de se prendre un sacrée coup sur la caboche d'Alanis, c'est pas ça qui allait le faire taire, sa bouteille il y tenait. Il recommença ça tirade... "la, la... Filez moi une boutanche...", à tout le monde.
"L'Écumeur n'avait pas froid à l’œil, celui qu'il lui restait, il savait qu'ils ne lui feraient pas de mal, Alanis avait parlé et ces hommes courbaient l'échine devant elle, quel bande de moules pensa t'il.", à tout le monde.
Je finis par lui fourrer un bandage, profitant d'un contre-ut qui s'étouffa net en même temps que son géniteur.
"Fourre un bandage dans la bouche grande ouverte de l'ecumeur en guise de bâillon." à Alanis, Guillemin VonderHück, Buddy Booh Booh, Gemini, confrère confesseur, L'Écumeur.
Tu donnes 1 Bandage de soin mineur à L'Écumeur
L'Écumeur , lorsqu'il voit arrivé Madre Anna vers lui le sent absolument pas, elle lui met un bandage dans la bouche et le contraint à se taire, il essai tout de même de parler mais un léger murmure...", à tout le monde.
"L'Écumeur ... sort de sa bouche. "grrmphh vpvd, eflvfep, !" Il se rend bien compte que ça ne sert plus à rien et se calme de lui même. Merde se dit-il, il aura pas sa rassade de rhum habituelle, sacrilège.", à tout le monde.

Nous hésitions sur le sort à lui faire subir, mais quoi qu'il en soit, le capitaine avait dit "vivant", il n'avait pas précisé dans quel état.
"Se tourne ensuite vers ses Frères : "on a promis de le garder vivant, pas entier."" à Alanis, Guillemin VonderHück, Buddy Booh Booh, Gemini, confrère confesseur, L'Écumeur.
""Je pourrais rajouter sa langue au doigt de Pedro, j'ai encore de la place dans mon bocal."" à Alanis, Guillemin VonderHück, Buddy Booh Booh, Gemini, confrère confesseur, L'Écumeur.
Borgne et muet, il pourrait nous rapporter comme phénomène de foire."" à Alanis, Guillemin VonderHück, Buddy Booh Booh, Gemini, confrère confesseur, L'Écumeur.

Le lendemain, nouveau refuge, même punition. L'Ecumeur chantait toujours, et Alanis finit par lui céder une bouteille de rhum.
"L'Écumeur "Me secouer, me secouer, ho, je suis réveillé à l'aube moi, et je ne bougerai pas du poil, vous aller me trainer, moi je vous le dis, à moins d'une p'tite boutanche de rhum, sinon, vous allez...", à tout le monde.
"L'Écumeur ... en chier, ha ha !"", à tout le monde.
Alanis balance une bouteille de rhum à L'Ecumeur."... Si ça peut lui faire fermer son clac-merde !", à tout le monde.
"Alanis choppe L'écumeur par les poignets soildement attaché et le pousse dehors."trainez pas les autres, je vais avoir besoin de vous !", à tout le monde.

Nous vîmes (et sentîmes) passer les Anglais, les Hollandais, les Espagnols, mais aucun Français à l'horizon.
"L'Écumeur fulmine à l'idée de ces alliés qui n'en branlait pas une. "Mais qu'est ce qu'il foute, non de non,vous serez pas les seuls à payer !"", à tout le monde.
"Alanis Ricane."On dirait que les Français sont débordés. Voila ce que c'est que d'amener toute son armée en mer !", à tout le monde.
"Gemini, confrère confesseur Des français inutiles ? Mazette. Quelle surprise.", à tout le monde.
"Gemini, confrère confesseur Probablement déjà en train de se vanter à la Fleur Bleue de ce qu'ils nous ont collé.", à tout le monde.

"L'Écumeur , depuis des jours voyait des espagnols et des hollandais, même un anglais, mais pourquoi allaient ils pas balancer sa position, ils étaient tous alliés à ces vils pirates... Allez savoir !", à tout le monde.
"L'Écumeur "Votre pitié vous savez où vous la mettre, l'armée et MoFo arrivent, je le sens, vous détalerez comme des pigeons le moment venu ! Rigolez, rigolez, ça sera bientôt mon tour."", à tout le monde.

La situation se dégradait de jour en jour.
"Sam Ouraï, dit le Rossignol regarde la tronche de l'écumeur "La vache il est vraiment pas frais là..."", à tout le monde.
L'Écumeur "S'il vous plaît j'en peux plus, un remontant... Je souffre, aidez moi...j'agonise, je meurs..."", à tout le monde.

"Gemini, confrère confesseur Mais c'est pas vrai, c'est quoi ça encore ? Pas moyen de voir un bandeau bleu mais le reste est en train de nous organiser un carnaval..", à tout le monde.

Le Français avait beau fanfaronné, il était toujours le seul du coin à porter le bandeau bleu. Pire que tout, certains le soupçonnaient même de nous accompagner de son plein gré.
"Isaäc van den Heemstede Des pirates encore, et un français sur notre territoire ! Je ne puis l'accepter, j'ai déjà renvoyer une des vôtre dans votre tanière de rats puants...", à tout le monde.


Le cours de l'amiral sur le marché des otages avait dramatiquement chuté.
Dirk
Dirk
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02/12/2011
Posté le 04/11/2016 à 17:09:25 

Quelques affaires réglées et enfin rentré de son voyage à Marie Galante, Dirk reprit le dossier de la disparition de l’Écumeur.
Pendant son absence, rien n'avait avancé. Ulrik était plus intéressé par fourrer son membre à gauche et à droite.

Aucune missive de la part des Pirates.

"Capitaine Bourrepif, je ne vois aucune nouvelle des bandeaux noirs !"
"Monsieur l'Intendant, c'est parce que nous n'avons rien reçu."
"Hum. Vous êtes sûr de ne pas avoir égaré des lettres ?"
"Certain monsieur."

Dirk semblait septique mais avait confiance dans le capitaine.

"C'est étrange de prendre quelqu'un en otage sans rien revendiquer ni demander de rançon vous ne trouvez pas ?"
"Bah.. C'est des Pirates. Il ne faut pas s'attendre à une quelconque logique ou soupçon d'intelligence."

Dirk sourit.

"C'est pas faux capitaine ! C'est pas faux !"

Le français prit un parchemin et commença à rédiger une lettre pour Alanis.
 

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